Inscrire l’architecture inclusive dans les règles urbanistiques qui touchent les accès collectifs.
Remarque : cela n’oblige pas forcément à fixer des règles extrêmes qui desservent leur objectif. Le but est, en utilisant les principes de l’architecture inclusive, d’effacer au maximum certains handicaps, ce qui, de plus, en fait bénéficier à d’autres personnes (exemple le plus courant : les poussettes).
Par exemple, permettre l’accès au bureau de poste pour les personnes à faible mobilité (PMR, difficulté à monter un escalier…) et aux poussettes en ajoutant une rampe d’accès et en modifiant l’accès intérieur. Ou encore : sécuriser les passages piétons avec un abaissement systématique de la bordure (au moins le prévoir à chaque phase de travaux) et un marquage en relief pour les personnes mal/non-voyantes.
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